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mardi 26 juin 2012

Enfin reconnue !









Comme toutes les associations communales, l’ARLLE pourra utiliser à titre gratuit une salle municipale de Ressons-le-Long pour y organiser son Assemblée Générale.

En effet, notre présidente vient de signer avec le maire une convention à cet effet.

Ce premier acte de bonne volonté pourrait laisser augurer une probable « normalisation » des relations entre la municipalité de Ressons-le-Long et l’ARLLE.

vendredi 22 juin 2012

Une banderole en guise de titre






Tous les Ressonnais ne lisent pas la presse quotidienne régionale et ne lisent pas notre blog, d’où cette nouvelle intervention dans la rue du Marais Saint-Georges, à proximité de la Trésorerie.

Comment not’ maire de Ressons va-t-il qualifier, sur son procès-verbal, cette « publicité » faite à son autoritarisme ?1
Enseigne,
préenseigne,
affichage d’opinion,
affichage associatif,
ou publicité illégale ?

L’ARLLE est une association considérée à part par le maire Rébérot :

L’ARLLE est :
·         la seule association communale non inscrite sur le site web officiel de la commune ;
·         la seule association ayant fait l’objet de plaintes à répétition, d’arrêtés de mise en demeure de la part du premier magistrat ;
·         la seule association dont l’expression est bâillonnée (plainte en diffamation contre ce blog, insuffisance légale d’affichage d'opinion et associatif …)
·         la seule association à qui le maire refuse l’utilisation du domaine public pour organiser une brocante ;

Et ce n’est sans doute pas fini …

Nous ne sommes pourtant pas de dangereux terroristes !

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1 - Voir sur ce blog les articles :
Brocante de la Trésorerie (10 mars 2012) ;
Malepeste, il y aura des travaux (23 mars 2012) ;
Pas très bavard le professeur Nanar ! (8 juin 2012) ;
Il était une mauvaise foi (12 juin 2012)

mercredi 13 juin 2012

Vous n’êtes pas les bienvenus !










Trois chaises, pas plus.



Voilà tout ce qui avait été mis à la disposition du public pour pouvoir assister à la dernière réunion du conseil municipal de Ressons-le-Long ce 11 juin dernier.

Même les chaises d’attente à côté du secrétariat de mairie avaient curieusement disparu.

Alors imaginez la tête qu’a fait le maire, ainsi que certains conseillers municipaux lorsque nous nous sommes permis d’aller fouiller et avons ramené de la réserve du fond du couloir les chaises qui y avaient été planquées.

Gageons que la prochaine fois cette réserve sera fermée à clé.


mercredi 31 août 2011

Concession SEDA, s'il vous plaît ?



Mairie de Ressons-le-Long

Vous qui entrez ici,

Abandonnez toute espérance.

(Dante – Divine Comédie)

A inscrire bientôt au fronton de la mairie de Ressons.

eghf

Mardi 30 août, vers les 11 heures 30, un quatuor d’individus audacieux, dont deux septuagénaires confirmés, entre dans la mairie, escalade les escaliers, attaque le palier, fait irruption dans le bureau ...

Suspense. On retient son souffle ...

 « Bonjour Madame ! Nous voudrions, SVP, consulter le dossier  « concession à la SEDA »

« C’est impossible à cause de l’arrêté pris par le maire le 12 de ce mois ».

Stupeur ! Mais tout n’est pas perdu ; écoutez :

« Vous remplissez ce formulaire officiel et dans 30 jours vous pourrez savoir si votre demande est rejetée »

Séquence entêtement : ils insistent ; il n’y a pas de raison de faire obstacle à leur demande et patin et couffin ...

Midi, heure de fermeture ...

Tiens, on dirait un gendarme...

Non... deux gendarmes.

Ah, ben non, le danger est trop important pour ne pas déranger deux autres gendarmes, pistolet à la ceinture. Nous, avec notre Canon EOS(1), nous ne faisons pas le poids. D’ailleurs, ils ne nous menacent pas, du moment qu’on ne fait pas de photos !

Le maire est prévenu.

Le maire va venir.

Le maire ne va pas tarder à venir.

Le maire tarde à venir.

Le maire se serait-il perdu en chemin ?

Non, le maire finit par arriver.

Dieu du Ciel, comme il est pâle, le pauvre !

Un peu verdâtre, même, de s’être tant dépêché.

Pourtant il trouvera les mots pour nous convaincre :

il s’agit d’un arrêté pris par le maire, donc, heu, en conséquence, on ne peut pas consulter les documents, vu que c’est le maire qui l’a décidé, et que, heu, il est le maire, donc il ne peut pas nous laisser consulter un document comme le maire il a dit vu qu’il est le maire et vous n’êtes pas ma maîtresse d’école.

Et toc !

Pis, il n’a pas les clés.

Alors !...

C’est pas bien trouvé, ça ?

eghf

(1) Appareil photographique


Bredouilles !



mercredi 17 août 2011

Mensonges et falsifications à tous les étages










Ci–contre, paru dans le journal « L’Union » de ce matin, ce petit entrefilet dans la rubrique « Clovis et versa »


Nos lecteurs sauront, à nouveau, apprécier à sa juste valeur le comportement de l’individu coupable d'une telle forfaiture.



Ci-dessous, la photo chopée sur le site internet de la mairie


Nota : pour les cours de retouche photographique, s’adresser à retouche-photo.arlle@laposte.net.



samedi 6 août 2011

Coup de gueule d'un vieux grincheux


Plaidoyer pour la réhabilitation des gueux et des sots.1

Entendez par là ceux qui n’approuvent pas la manière de Monsieur le Maire de gérer la commune.
Monsieur le Maire, dans son bulletin de juillet 2011, et par citation tronquée, évoque avec ces épithètes flatteuses l’opinion qu’il a d’une fraction importante de la population.
Monsieur le Maire a été élu démocratiquement, choisi par une partie de la population.
Mais qu’il le veuille ou non, ceux qui n’ont pas voté pour lui et ceux qui s’en mordent les doigts, sont à part entière ses administrés, de sorte que Monsieur le Maire ne peut se permettre de tromper les uns en restant sourd aux protestations des autres : les mépriser, même par citation tronquée et détournée de son contexte, n’est pas supportable dans un bulletin édité avec l’aval d’une fonction officielle.
Holà, Monsieur le Maire, vous devenez agressif ; leçons de morale, avertissements, menaces, maintenant le mépris ! La Mairie est un bâtiment public : gardez-le propre et cessez d’exiger qu’on fasse pour vous ce que vous êtes censé faire pour nous.2
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1. « Si tu peux supporter d’entendre tes paroles travesties par des gueux pour exciter des sots ... »
R. Kipling. (Bulletin communal de juillet 2011)

2. Dans une envolée lyrique, Monsieur le Maire avait cité la phrase de J.F. Kennedy : « Ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous. Demandez ce que vous pouvez faire pour votre pays. » 

vendredi 5 août 2011

Pas de pitié pour les gaillardes boiteuses


Elles s'étaient donné rendez-vous à la mairie pour y consulter quelques plans d'urbanisme (POS-PLU).
Le maire, mal inspiré, tenta l'aventure : il crêpa le chignon de l'une d'elles (verbalement).
Fort heureusement, les furies ne lui firent pas subir les sévices d' Hécatombe.
Et les plans alors ?
Les mégères durent les consulter à quatre pattes sur le palier !

dimanche 31 juillet 2011

Mots croisés



Echange électronique de votre serviteur avec un épistolier – 29 et 30 juillet 2011 - Extraits

[…]

Nicolas Rébérot : « Monsieur Huftier,
Suite à notre entrevue d’hier matin, et m’ayant confirmé que vous connaissiez l’auteur des marquages sur la route, aurez vous le courage ou la décence de bien vouloir m’informer des ses coordonnées ?
Est-ce vous par hasard qui en êtes l’auteur ?
Dans l’affirmative, étiez vous seul ou accompagné ?
Dans le cas contraire, je prend note de la facilité d’agir à visage masqué contre des collectivités.
Cordialement,
Le Maire,
Nicolas REBEROT »

Moi : « Cornegidouille !
[…], néanmoins je peux peut-être apporter des éléments de réponse au problème qui vous turlupine.
Pourriez-vous me donner l'heure vers laquelle cela a été fait ? »

Nicolas Rébérot : « Bien entendu,
Cela s’est produit entre 22 heures le 27 juillet et 7h le 28 juillet 2011.
Il est étonnant de voir le manque d’assurance de certaines personnes. Il est vraiment très facile en France de ne pas assumer ses actes ….
Certains enfants le font pourtant.
A bon entendeur … »

Moi : « C'est peu précis.
Vous aurez ma réponse définitive quand je saurai ce qu'encourent les responsables.
Au fait, êtes-vous conscient du mal que vous faites à certaines personnes ? »

Nicolas Rébérot : « Désolé pour cette imprécision, mais il est vrai que nos administrés et les visiteurs ne sont pas « fliqués »… nous espérions un brin de maturité.
Ce qu’encourent les responsables, bien que je ne sois pas juge, c’est au moins de réparer leurs actes en effaçant les marquages au sol. Cela semble être la moindre des choses bien entendu. »

Moi : « Je me doute que le blog que j'anime ne vous plaise pas, mais ce n'est pas une raison pour m'accuser.
Je ne dénonce pas pour si peu. Une audience au tribunal m'aurait séduit.
J’attends la convocation des gendarmes. »

Nicolas Rébérot : « Je ne vois pas de quel blog il est question, mais son adresse pourrait m’aider.
Toujours est il que je comprends qu’aucun de vous n’assume ses actes. C’est bien dommage pour des personnes qui, très certainement enseignent, ou ont enseigné, de se comporter comme des adolescents qui font leur coup en douce.
Néanmoins, si c’est dans l’air du temps pour une génération sacrifiée. Ce n’est pas un exemple de se comporter comme tel pour les jeunes… mais comme je suis un donneur de leçons, je n’en dis pas plus.
La ou les personnes responsables peuvent néanmoins s’assumer et le signifier, en Mairie ou à la gendarmerie, d’elle-même.
Pour information, les responsables des dégâts de la station d’épuration fin avril 2009 s’étaient dénoncés à l’époque et avaient entre 5 et 12 ans. Comme quoi, la grandeur d’esprit n’est pas forcément en relation avec l’âge.
A bon entendeur…. »


Nicolas Rébérot : « Je prends note de ce blog. Je vois qu’il est toujours aussi facile de décrier son semblable ou son prochain sur une interface virtuelle… en utilisant des pseudos et non son nom propre. En refusant de rencontrer les élus (est il nécessaire de rappeler que j’ai proposé au moins 2 fois de se rencontrer, même pour un autre sujet ?).
Sauf le respect que je vous dois (aurait dis G.B.), c’est donner là un drôle d’exemple du corps enseignant, mais sans juger car chacun en fera sa propre analyse et fort heureusement, il ne faut pas mettre tout le monde dans le même panier.
Ce blog me confirme en tous les cas que vous êtes au minimum complice des marquages sur la voirie, au mieux auteur. Mais l’entendre de votre clavier (puisque vous refusez la rencontre et le dialogue réel) serait peut être plus honnête (moins malhonnête au choix) et pourrait faire preuve, pour une fois, de s’assumer sans être à visage masqué. Mais est-ce trop demander ? cela semble certain.
A toutes ces fleurs déguisées en vaches, et vis et versa. Désolé d’avoir encore plagié G.B.
quelle inculture de jachères fleuries !

à bon entendeur… »