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jeudi 9 janvier 2014

Finances municipales exsangues ?










Dans un dernier article, nous avons publié un extrait du compte rendu de la dernière réunion du conseil municipal portant sur le huis clos.

Revenons-y.

Le maire y exposait, entre autres sujets, que Madame **** (il s’agit de Madame Nadine DEGARDIN1) s’était pourvue en cassation contre une décision juridique favorable à la commune de RESSONS-LE-LONG dans un litige concernant des factures d’assainissement.

Selon le maire, « cette personne » a été déboutée de sa contestation par la juridiction de proximité de Soissons, avec 300 euros d’amende.

Certes, si Madame DEGARDIN a bien été déboutée de son action en contestation, ce n’est pas sur le fond de l’affaire, mais sur une simple question de délai de prescription2.

Le maire avait demandé 2000 euros au titre des frais de justice. Le juge n’a réclamé à Mme DEGARDIN que 300 euros d’indemnité censés couvrir les frais d’avocat de la commune. Il est donc particulièrement fallacieux d’utiliser le mot amende.3

Monsieur RÉBÉROT a-t-il vraiment lieu de s’interroger sur l’opportunité de poursuivre la défense de ce dossier ?

Si, dès à présent, il jette l’éponge, c’est qu’il ne se fait pas d’illusions sur l’issue probable de l’affaire, et qu’il n’ose pas, pour une fois, aller jusqu’au bout comme il le faisait jusqu’à présent.

On l’avait connu plus obstiné !

L’argument de la nécessité d’engager de nouveaux frais ne tient pas la route.

Depuis le début de son mandat, Monsieur RÉBÉROT s’est rendu responsable d’une trentaine d’affaires judiciaires, la plupart pas encore jugées, ni même complètement instruites.

Jusqu’à juin de l’année dernière, le maire n’hésitait pas à mandater des avocats sur toutes ces affaires, y compris les plus simples qu’il aurait pu régler lui-même.

Mais depuis l’été 2013, la situation semble avoir changé : une requête déposée par l’ARLLE et enregistrée le 1er août4 n’a reçu à ce jour encore aucune suite de la part de la commune, ni mandat d’avocat, ni réponse en défense !

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1 – NDLR : l’intéressée nous a autorisé à publier son nom.
2 – Principe qui désigne une durée au-delà de laquelle une action en justice n’est plus recevable et sur laquelle la cour de cassation aura à se prononcer.
3 – Voir extrait du compte-rendu du conseil municipal du 2 décembre 2013 ci-dessous.
4 - A cette époque, l’ARLLE ayant subi un préjudice important, tant financier que moral, suite à un arrêté municipal refusant une autorisation de buvette à l’occasion de la brocante de la Trésorerie, l’association avait saisi le tribunal administratif d’Amiens.






jeudi 19 avril 2012

Et l'information devint rumeur.







Selon le maire de Ressons-le-Long, notre association colporterait rumeurs et désinformations, notamment quant à la réalisation de sondages archéologiques dans la propriété d'Arlette Merciot.

 

Il ne s'agit aucunement d'une rumeur, mais d'une information fondée sur un courrier de la SEDA dont vous trouverez le fac-similé ci-dessous.