N’ayant pas la foi du charbonnier, nous n’y avions pas cru et il s’avère que nous avions raison.
Au-delà des nuisances et pollutions de tous ordres,
- vacarme permanent et concerts de « bip bip bip » insupportables,
- poisons des gaz d’échappement des gros engins de chantier 5 jours sur 7,
- abondants nuages de poussières,
Car dans ce que le maire et la SEDA osent pompeusement appeler « écoquartier », le béton est roi : bordures, pavés, dalles, murets, trottoirs, ...
- Or, les bordures de trottoirs viennent de Belgique : 5 h de pollution environnementale à chaque voyage
- Les cailloux viennent du Nord : 4 heures de route aller-retour…
- Aucun matériau n’est produit dans les environs.
- L’équipe d’ouvriers du chantier elle-même part tous les jours du St-Quentinois : 200 km quotidiens.
1 . La Société d’Équipement du département de l’Aisne est maître d’ouvrage.
2 . L’impact de l’utilisation du béton dans la construction est loin d’être négligeable en terme de respect de l’environnement. En effet, il provoque d’énormes rejets de gaz responsables du réchauffement climatique (notamment le CO2) dans son acheminement et celui des matières premières qu’il nécessite ainsi que dans sa confection.
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