Depuis le 22 octobre dernier, les usagers de la rue du Marais Saint-Georges ont repris leurs habitudes de circulation d’avant les travaux d’aménagement du bétoquartier, depuis la place de la Fontaine jusqu’à la route nationale. Hormis le maire de Ressons, tous sans aucun doute, ont été désagréablement surpris par une série de ralentisseurs sournois (non signalisés) particulièrement agressifs, notamment un situé entre les numéros 22 et 27 de la rue.
A en croire les nombreuses traces de rabotage laissées à cet endroit par les véhicules, il parait évident que la hauteur ou/et la pente de ce ralentisseur est (sont) non conforme(s) aux normes réglementaires obligatoires.
Tout le monde s’accorde sur la nécessité de réguler la vitesse des véhicules afin d’assurer la sécurité de tous les usagers de la route, mais pourquoi le faire aussi brutalement à cet endroit. Ne serait-il pas plus judicieux d’étendre la zone 30 depuis la grand’rue jusqu’à la sortie d’agglomération du Marais Saint-Georges, ce qui éviterait les coups de freins brutaux de dernier instant ?
Du point de vue de la santé, des kinésithérapeutes et des ostéopathes ont remarqué une aggravation des pathologies du dos et des reins causée par la prolifération des ralentisseurs (dont au moins 1/3 seraient hors normes).
D’un point de vue mécanique-auto, les garagistes ont constaté des faiblesses et une usure prématurée des organes du train roulant, amortisseurs, rotules, organes de freinage … ainsi que déformations des châssis, carters d’huiles fêlés, détérioration des boucliers, échappements … dus eux aussi aux ralentisseurs.
D’autre part les ralentisseurs sont responsables d’une surconsommation de carburant, d’une augmentation de la pollution par émission de gaz à effet de serre causées par les décélérations et ré-accélérations, notamment après rétrogradage et enfin l’on ajoutera aussi, comme effet nocif, l’augmentation de la pollution par particules fines causée par l’usure accélérée des plaquettes de freins. ...
D’où un appel lancé à tous les maires en général et à celui de Ressons-le-Long en particulier d’user avec un peu plus de raison des ralentisseurs, en n'oubliant pas une signalisation très visible de jour comme de nuit.
A en croire les nombreuses traces de rabotage laissées à cet endroit par les véhicules, il parait évident que la hauteur ou/et la pente de ce ralentisseur est (sont) non conforme(s) aux normes réglementaires obligatoires.
Tout le monde s’accorde sur la nécessité de réguler la vitesse des véhicules afin d’assurer la sécurité de tous les usagers de la route, mais pourquoi le faire aussi brutalement à cet endroit. Ne serait-il pas plus judicieux d’étendre la zone 30 depuis la grand’rue jusqu’à la sortie d’agglomération du Marais Saint-Georges, ce qui éviterait les coups de freins brutaux de dernier instant ?
Du point de vue de la santé, des kinésithérapeutes et des ostéopathes ont remarqué une aggravation des pathologies du dos et des reins causée par la prolifération des ralentisseurs (dont au moins 1/3 seraient hors normes).
D’un point de vue mécanique-auto, les garagistes ont constaté des faiblesses et une usure prématurée des organes du train roulant, amortisseurs, rotules, organes de freinage … ainsi que déformations des châssis, carters d’huiles fêlés, détérioration des boucliers, échappements … dus eux aussi aux ralentisseurs.
D’autre part les ralentisseurs sont responsables d’une surconsommation de carburant, d’une augmentation de la pollution par émission de gaz à effet de serre causées par les décélérations et ré-accélérations, notamment après rétrogradage et enfin l’on ajoutera aussi, comme effet nocif, l’augmentation de la pollution par particules fines causée par l’usure accélérée des plaquettes de freins. ...
D’où un appel lancé à tous les maires en général et à celui de Ressons-le-Long en particulier d’user avec un peu plus de raison des ralentisseurs, en n'oubliant pas une signalisation très visible de jour comme de nuit.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire