mercredi 11 avril 2012

La Trésorerie : de l'inquiétude à l'angoisse





Les époux Petit et Arlette Merciot sont soutenus par l'association Ressons-le-Long Environnement.



Voir l'article paru ce jour dans L'Union




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http://www.lunion.presse.fr/article/societe/la-tresorerie-de-linquietude-a-langoisse?xtcr=2&xtmc=ressons

8 commentaires:

  1. Le conseil municipal a une pierre à la place du cœur.

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  2. Voir ses arbres cassés, détruits par des pelleteuses venues faire des tranchées pour des fouilles archéologiques a de quoi vous retourner les sangs.
    Imaginer faire des fouilles dans un jardin en pleine culture alors que le jardin est la passion de ses propriétaires est la preuve que les élus de Ressons et la Séda n'ont pas le sens commun.
    C'est tout bonnement inadmissible de s'introduire chez les gens par la force et de bouleverser leurs vies.
    Si les élus peuvent envisager de tels actions, c'est qu'ils n'ont rien compris à leur mission, ils n'ont pas été élus pour faire n'importe quoi.

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  3. N'oublions pas la pâture du poney, elle est en sursis bien qu'attenante à la maison et cloturée : pourvu que Topaze vive encore longtemps, on guette son carré d'herbe.
    Les prairies autour du bois ( occupées par des chevaux ), le jardin le long du chemin vert ne sont pas à l'abri non plus.
    Les pelleteuses auront vite fait de détruire tout ça si nous ne restons pas mobilisés.

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  4. Les problèmes liés à la gestion autoritaire de la commune sont de plus en plus connus aux alentours et
    font une publicité désastreuse à son maire.
    L'urbanisation de la Trésorerie n'est pas le seul.
    Il est peut-être temps de se demander pourquoi la mairie a maintenant besoin de plusieurs avocats, par exemple.
    Aux frais du contribuable, bien sûr.

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  5. Vous avez raison de ne pas vous laisser dépouiller, la moindre des politesses quand on souhaite acquérir un bien est d'aller demander au propriétaire son accord entier et libre. Nous ne sommes pas dans un pays communiste et la propriété privée est sacrée.

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  6. Dans une petite commune, tout le monde est voisin. Comment un maire et son équipe peuvent-ils infliger une telle épreuve à des gens qu'ils connaissent depuis toujours. En allant jusqu'à les rendre malades.

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  7. Je suis peut-être à la ramasse, mais je n'avais pas encore noté sur le site de la mairie la notion de "droit objectif", par rapport au "droit subjectif", c'est ici "évolution de la rue du Marais Saint Georges . Si je me souviens bien, il y a quelques temps, il était aussi fais mention que les Réfractaires n'étaient qu'une bande de quasi terroristes, post soixante huitards cacochymes. Chacun appréciera à sa manière la délicatesse des propos. C'est quand même assez fort de dire, lâchement, de manière détournée, à des personnes qui ont œuvré toute leur vie et n'aspirent qu'à la tranquillité qu'ils sont de grands délinquants qui aspirent à faire respecter leur droit subjectif (intérêt individuel)... (sic).
    Deux clins d'oeil : Pauvre con ! Le droit ! Mais dis-toi bien qu'en matière de monnaie les États ont tous les droits et les particuliers aucun ! (in La cave se rebiffe Michel Audiard dans la bouche de Gabin)... à adapter et Ouais ! Mais celui-là c'est un gabarit exceptionnel ! Si la connerie se mesurait, il servirait de mètre étalon ! (in id. supra).
    Bon courage

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  8. Et pardon pour les coquilles, fautes de doigt

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