dimanche 31 juillet 2011

Mots croisés



Echange électronique de votre serviteur avec un épistolier – 29 et 30 juillet 2011 - Extraits

[…]

Nicolas Rébérot : « Monsieur Huftier,
Suite à notre entrevue d’hier matin, et m’ayant confirmé que vous connaissiez l’auteur des marquages sur la route, aurez vous le courage ou la décence de bien vouloir m’informer des ses coordonnées ?
Est-ce vous par hasard qui en êtes l’auteur ?
Dans l’affirmative, étiez vous seul ou accompagné ?
Dans le cas contraire, je prend note de la facilité d’agir à visage masqué contre des collectivités.
Cordialement,
Le Maire,
Nicolas REBEROT »

Moi : « Cornegidouille !
[…], néanmoins je peux peut-être apporter des éléments de réponse au problème qui vous turlupine.
Pourriez-vous me donner l'heure vers laquelle cela a été fait ? »

Nicolas Rébérot : « Bien entendu,
Cela s’est produit entre 22 heures le 27 juillet et 7h le 28 juillet 2011.
Il est étonnant de voir le manque d’assurance de certaines personnes. Il est vraiment très facile en France de ne pas assumer ses actes ….
Certains enfants le font pourtant.
A bon entendeur … »

Moi : « C'est peu précis.
Vous aurez ma réponse définitive quand je saurai ce qu'encourent les responsables.
Au fait, êtes-vous conscient du mal que vous faites à certaines personnes ? »

Nicolas Rébérot : « Désolé pour cette imprécision, mais il est vrai que nos administrés et les visiteurs ne sont pas « fliqués »… nous espérions un brin de maturité.
Ce qu’encourent les responsables, bien que je ne sois pas juge, c’est au moins de réparer leurs actes en effaçant les marquages au sol. Cela semble être la moindre des choses bien entendu. »

Moi : « Je me doute que le blog que j'anime ne vous plaise pas, mais ce n'est pas une raison pour m'accuser.
Je ne dénonce pas pour si peu. Une audience au tribunal m'aurait séduit.
J’attends la convocation des gendarmes. »

Nicolas Rébérot : « Je ne vois pas de quel blog il est question, mais son adresse pourrait m’aider.
Toujours est il que je comprends qu’aucun de vous n’assume ses actes. C’est bien dommage pour des personnes qui, très certainement enseignent, ou ont enseigné, de se comporter comme des adolescents qui font leur coup en douce.
Néanmoins, si c’est dans l’air du temps pour une génération sacrifiée. Ce n’est pas un exemple de se comporter comme tel pour les jeunes… mais comme je suis un donneur de leçons, je n’en dis pas plus.
La ou les personnes responsables peuvent néanmoins s’assumer et le signifier, en Mairie ou à la gendarmerie, d’elle-même.
Pour information, les responsables des dégâts de la station d’épuration fin avril 2009 s’étaient dénoncés à l’époque et avaient entre 5 et 12 ans. Comme quoi, la grandeur d’esprit n’est pas forcément en relation avec l’âge.
A bon entendeur…. »


Nicolas Rébérot : « Je prends note de ce blog. Je vois qu’il est toujours aussi facile de décrier son semblable ou son prochain sur une interface virtuelle… en utilisant des pseudos et non son nom propre. En refusant de rencontrer les élus (est il nécessaire de rappeler que j’ai proposé au moins 2 fois de se rencontrer, même pour un autre sujet ?).
Sauf le respect que je vous dois (aurait dis G.B.), c’est donner là un drôle d’exemple du corps enseignant, mais sans juger car chacun en fera sa propre analyse et fort heureusement, il ne faut pas mettre tout le monde dans le même panier.
Ce blog me confirme en tous les cas que vous êtes au minimum complice des marquages sur la voirie, au mieux auteur. Mais l’entendre de votre clavier (puisque vous refusez la rencontre et le dialogue réel) serait peut être plus honnête (moins malhonnête au choix) et pourrait faire preuve, pour une fois, de s’assumer sans être à visage masqué. Mais est-ce trop demander ? cela semble certain.
A toutes ces fleurs déguisées en vaches, et vis et versa. Désolé d’avoir encore plagié G.B.
quelle inculture de jachères fleuries !

à bon entendeur… »

vendredi 29 juillet 2011

Eco-hameau, Ecovillage, Eco-nerie


Certes, Wikipédia n'est pas une référence universelle, mais on pourra s'y faire une idée de la notion d' écovillage, et par la même tenter le rapprochement avec le projet de lotissement de la Trésorerie à Ressons-le-Long.
Mettre l'éco-logie à toutes les sauces, certains anglophones appellent cela le greenwashing (écoblanchiment en français) 

http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89covillage

L'écoQuartier impossible


L'écoquartier n'aurait de sens qu'à la ville.
L'une des caractéristiques du concept d'écoquartier est la limitation des déplacements automobiles au profit des transports en commun, de l'utilisation du vélo ou de la marche à pied.
La population amenée par le lotissement de la Trésorerie de Ressons-le-Long irait-elle travailler, faire ses courses, chez le médecin ... à pied, en vélo, en bus ?

jeudi 28 juillet 2011

Le petit jardin



[…]
C'était un petit jardin
Avec une table et une chaise de jardin,
Avec deux arbres un pommier et un sapin
[…]
Mais un jour, près du jardin,
Passait un homme qui, au revers de son veston,
Portait une fleur de béton.
Dans le jardin une voix chanta:
« De grâce, de grâce,
Monsieur le Promoteur,
De grâce, de grâce,
Préservez cette grâce.
De grâce, de grâce,
Monsieur le Promoteur,
Ne coupez pas mes fleurs.
[…] »
C'était un petit jardin
Avec un rouge-gorge dans son sapin,
Avec un homme qui faisait son jardin,
[…]
Mais un jour, près du jardin,
Passait un homme qui, au revers de son veston,
Portait une fleur de béton.
[…]
Jacques Dutronc


Eco-attentat à la bombe


Des pirates noctambules ont préféré la chaussée pour s'exprimer.

mercredi 27 juillet 2011

Pauvres Petit !


Les époux Petit sont très concernés par l'aménagement de la Trésorerie.
Et comment !
En effet, la SEDA, maître(sse) d'ouvrage de ce projet, convoite leur petit lopin de terre.
Le hic, c'est que Jeannine et René n'ont aucune envie de vendre leur bien.
Ils seront donc, comme d'autres, expropriés ... pour 6 euros le mètre carré !


samedi 23 juillet 2011

Ressons-le-Long à l'honneur : plus pour longtemps ?

Vu dans le magazine du Conseil Général de juillet/août 2011 avec le commentaire suivant : " Ressons-le-Long et les paysages typiques de la vallée de l'Aisne. ". (Image retouchée)

vendredi 22 juillet 2011

Nostalgie

Ce petit chemin qui sentait la noiset ... ette.

Ô lavoir !

Belle mise en valeur : pierre bien blanche, transformateur électrique et bac à fleurs (brevet Nicolas Rébérot)

mardi 19 juillet 2011

Vous avez dit " Concertation " !


Le conseil municipal, réuni le 28 juin 2010, a décidé de lancer la concertation pour l'aménagement du secteur de la Trésorerie. Devaient être associés à cette concertation la population, les associations locales et les administrations compétentes.
Lors de la réunion du 6 décembre 2010, le maire a présenté au conseil municipal quatre scénarii (*) d'aménagement de ce secteur.
Aujourd'hui, la population attend toujours la concertation. L'association compte bien y participer, mais  aura-t-elle lieu un jour, cette concertation, et le cas échéant, serons nous réellement entendus ?
(*) en français : scénarios

lundi 18 juillet 2011

J'ai fait un cauchemar.

Quartier de l'impasse Nicolas Rébérot : un chantier qui durera entre dix et quinze ans.

mercredi 13 juillet 2011

Adieu Valentine !

Depuis deux ans, cette écureuille avait élu domicile dans le bas de la rue du Marais Saint-Georges.
Elle était le rayon de soleil quotidien des riverains.
Elle a été sauvagement écrasée hier par un véhicule en excès de vitesse.

mardi 12 juillet 2011

Joli pot de fleurs

Ressons-le-Long participe au concours des villes et villages fleuris.
Pour inciter les habitants à fleurir leur cadre de vie, la commune montre l'exemple.