Tous les Ressonnais ne lisent pas la presse quotidienne régionale et ne lisent pas notre blog, d’où cette nouvelle intervention dans la rue du Marais Saint-Georges, à proximité de la Trésorerie.
Comment not’ maire de Ressons va-t-il qualifier, sur son
procès-verbal, cette « publicité » faite à son autoritarisme ?1
Enseigne,
préenseigne,
affichage
d’opinion,
affichage
associatif,
ou publicité
illégale ?
L’ARLLE est une association considérée à part par le
maire Rébérot :
L’ARLLE est :
·
la seule association communale non inscrite sur
le site web officiel de la commune ;
·
la seule association ayant fait l’objet de
plaintes à répétition, d’arrêtés de mise en demeure de la part du premier
magistrat ;
·
la seule association dont l’expression est
bâillonnée (plainte en diffamation contre ce blog, insuffisance légale d’affichage d'opinion et associatif …)
·
la seule association à qui le maire refuse
l’utilisation du domaine public pour organiser une brocante ;
Et ce n’est sans doute pas fini …
Nous ne sommes pourtant pas de dangereux
terroristes !
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1 - Voir sur ce blog les articles :
Brocante de la Trésorerie (10 mars 2012) ;
Malepeste, il y aura des travaux (23 mars 2012) ;
Pas très bavard le professeur Nanar ! (8 juin
2012) ;
Il était une mauvaise foi (12 juin 2012)
Nous avons fait passer un avis d'annulation dans l'Union et averti le site Brocabrac mais notre brocante figurant dans le " petit livre des brocantes" les chineurs qui s'y réfèrent se déplaceront pour rien.
RépondreSupprimerTrès agréable !
Il est bon qu'ils sachent à qui ils doivent leur déconvenue. D'où la banderole.
Qu'ils n'hésitent donc pas à remercier le maire de Ressons le long.
Il était indispensable de prévenir les personnes qui vont se déplacer inutilement pour la brocante projetée par l'association. C'est lamentable d'interdir une animation qui aurait amené un peu de "vie" au village.
RépondreSupprimerL'ARLL est le "vilain petit canard" aux yeux de notre édile ! Malheur à qui ne pense pas comme lui!!!!
Comme l’a si bien dit Marc Guérin, conseiller municipal, reconnaissant serviteur, et qui approuve à 100 % les méthodes retorses de son maire : « C’est de bonne guerre ! »
RépondreSupprimerUne brocante est une manifestation festive, certes, mais aussi l'occasion, pour ceux qui souffrent de la précarité, du chômage, de gagner quelques euros bienvenus dans un budget serré.
RépondreSupprimerCette bonne raison n'a, évidemment, pas été retenue par l'autorité municipale.
L'autorité municipale, c'est Rébérot, et lui seul, car les conseillers ne sont pas au courant de toutes ses petites affaires.
RépondreSupprimerIl fait penser à un autre Nicolas.
Il se fout comme d'une guigne de tout argument qui n'est pas le sien, trop occupé à vouloir casser tout ce qui lui résiste.
Force est de constater qu'aucun conseiller municipal n'a jamais pris d'initiative personnelle, par exemple celle de rencontrer à titre individuel les membres de l'Arlle.
SupprimerNi fait connaître la moindre désapprobation vis à vis des décisions du maire.
Cela aurait été une preuve d'ouverture d'esprit que de permettre cette brocante que visiblement les travaux ne pouvaient empêcher.
RépondreSupprimerRébérot, ouvert d'esprit !
RépondreSupprimerA-t-il seulement un esprit ?
Ca j'y avais pensé depuis le message de Mamichou... Pense-t-il ? Car en ce jour de non évènement (qui aurait pu rendre service par ailleurs comme le souligne Lajane) mais vu le temps... on peut se replonger avec délectation dans la lecture de Descartes. Tout le monde connait le Cogito ergo sum mais cette citation est erronée, incomplète. Ce qui déclenche le Cogito, c'est le Dubito. Et cela est fondamental. Je doute, je m'interroge, ensuite je prends conscience de mon moi et enfin je projette cette interrogation dans mon univers. Bien entendu je suis le plus objectif possible, à charge et à décharge. Descartes cherchait, sans y arriver pleinement (mais aucun philosophe n'y est arrivé) à nier l'existence d'un dieu. Mais en se mettant en abîme, il a construit la première pensée logique prenant en compte les sciences de son temps. En ce sens force est de constater que le camarade Rébérot ne pense pas. Les vidéos sont affligeantes, les actes anti-démocratiques, et le non évènement d'aujourd'hui emblématiques. Il manque la réflexion (et l’étymologie de ce terme est instructive), il manque le doute sur le bien fondé d'une décision (l'enfer est pavé de bonnes intentions). Sans le doute, je ne pense pas, je ne suis pas. Dubito ergo cogito ergo Rébérot ? That is the question.
SupprimerBravo Titi, en cette période du Bac : tu pourrais te représenter sans problème pour la philo et tu décrocherai une note excellente.
SupprimerM. le Maire sans le vouloir vous a quand même rendu un fier service ; vu le temps exécrable de ce dimanche, vous étiez mieux devant le match de foot ou la messe télévisée que derrière votre stand recouvert de plastique. Qui sait, vous auriez peut-être même chopé une pneumonie ?
RépondreSupprimerEntre le foot et les curés, mon choix fut la lecture. Chacun son truc. Et j'eusse préféré une brocante même sous la pluie, cela regroupe les gens, permet de discuter, d'établir des liens, que le néant. J'ai du mal à comprendre cette remarque.
SupprimerLa vérité, l'intelligence, peuvent se manifester... Même sous la pluie.
Pour l'image de Ressons et indirectement pour celle de son maire, il vaut mieux une brocante sous la pluie que refusée sous un prétexte fallacieux.
RépondreSupprimerEt toc !
c'était de l'humour !!!
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