mardi 3 juillet 2012

Pétrole et gaz de schiste : notre canton menacé.









Nous sommes très inquiets d’un projet de recherche de traces de pétrole de schiste dans le sous-sol de la région.





Les risques écologiques sont majeurs :
·         Pollution des nappes phréatiques (notre eau courante) ;
·         Contamination des terres (notre production agricole) ;
Les risques pour notre santé sont réels :
·         Maladies ;
Détérioration de notre cadre de vie :
·         Nuisances sonores et visuelles ;
·        

Le collectif Carmen est très vigilant et compte sur le soutien de tous pour que l’on de vienne pas « creuser et violer la roche-mère de notre sous-sol.
Ni ici, ni ailleurs, ni aujourd’hui, ni demain … »

Plus d’informations :
http://collectif-carmen.org/index.php?post/2012/06/28/UN-NOUVEAU-PERMIS-BIEN-CACHE-%3A-LE-PERMIS-DE-SOISSONS......

Nous suivons ce dossier de près.

2 commentaires:

  1. Nouvelle alarmante ( parue dans l'Union du 2 juillet )qui prouve, s'il en était besoin, que les mauvais coups se préparent en toute discrétion.
    Personne n'a été prévenu, c'est une méthode courante apparemment mais c'est un déni de démocratie.

    Décidément, la destruction de nos belles campagnes est programmée : beaucoup de villages sont déjà défigurés par des constructions intempestives amenant plus de nuisances que de prospérité, maintenant on veut s'attaquer aux profondeurs de la terre alors que le désastre écologique qui en résultera est connu et prouvé.

    Mobilisons-nous tous, pendant qu'il en est encore temps, pour lutter contre des projets que tous les maires doivent refuser en bloc.

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  2. Tout à fait d'accord, voir l'article du Parisien d'hier ICI, ce qui me fait penser que les députés peuvent également, avec les maires, faire remonter au premier ministres ses engagements passés. La mutualisation, comme Collectif 07 stop au gaz de schiste me semble fondamentale, d'autant que la Guyane est également très menacée actuellement. Je dois avouer que je ne comprends pas ce revirement du gouvernement actuel. Mais la vigilance et la lutte s'imposent.

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