Ami brocanteur,
Chineur,
Flâneur,
Tu me dis avoir passé un moment agréable,
Tu as trouvé
l’endroit sympa,
Tu as apprécié l’atmosphère conviviale de cet après-midi
au soleil,
Mais as-tu une idée du nombre de tracasseries récurrentes
imposées systématiquement par le maire aux organisateurs ?
T’as un p’tit moment ?
O.K. Je t’ raconte …
Premier essai :
Nous sommes en 2011, en hiver, rappelle-toi, la neige
tombe en abondance …
L’ARLLE, forte de six mois d’existence, décide de faire
une vente au déballage, histoire d’animer la Trésorerie, et d’alimenter un peu
la sienne !
On choisit le dimanche 24 juin 2012, qui célèbrera le
premier anniversaire de la création de l’ARLLE.
Notre dynamique présidente dépose donc en mairie une
déclaration préalable avec demande d’utilisation de la rue du Routy, du chemin
rural de la Trésorerie et de la rue du Marais Saint Georges (on voyait
grand !).
Monsieur Rébérot, not’ maire, déclare notre demande
incomplète et nous réclame :
-
un plan de déviation ;
-
un plan
de circulation ;
-
une attestation d’assurance ;
Documents que nous lui fournissons au plus vite.
Pas suffisant : en février, il nous enjoint :
- de préciser la nature des panneaux réglementaires que
nous prévoyons d’installer ;
- la superficie prévue d’occupation du domaine public,
Informations que
nous fournissons sans rechigner.
Le dossier est complet…
12 mars 2012, coup de Jarnac, l’autorisation de brocante
est refusée au motif que les rues que nous avons demandées serviront de « déviation
pour cause de travaux dans le centre bourg. »
Or, cette déviation n’a jamais été mise en place les
week-ends, a fortiori le dimanche 24
juin 2012.
C’est ce qu’on appelle, dans le langage municipal
ressonnais, prévoir un aléa !
Fin du premier épisode.
A suivre …
Les travaux étaient d'ailleurs terminés plusieurs semaines avant la date prévue pour la brocante.
RépondreSupprimerUn "alea" mal évalué.
La prochaine fois on trouvera mieux !