Monsieur Rébérot a-t-il eu besoin de votre avis pour signer avec la SÉDA au début de l’année 2010 une concession sur des terrains que la commune ne possède même pas ?
Ou si peu !
Non ! Il a été d’une discrétion exemplaire, allant
jusqu’à ignorer une pétition exprimant une opposition massive à son projet. Il
n’y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre, dit la sagesse
populaire.
S’est – il préoccupé de savoir de ce que vous pensez d’un
emprunt de 395.000 € que vous allez rembourser, entre autres, pendant 15
ans ?
Et la transformation, ou plus exactement la disparition
de la place de la Fontaine, on suppose que l’idée vous a emballés :
Monsieur le maire pourra contempler le monument aux morts chaque matin en se
rasant. Pensez-y : ça valait le coup !
Mais aujourd’hui, grand branle bas dans Landerneau ;
5 ans et demi après la prise de pouvoir,
le maire vous propose instamment, par l’entremise du site web communal de vous
exprimer :
L’acquiescement servile des chevaliers de la table ovale
ne suffirait-il plus pour assurer la légitimité de l’entreprise ?
Aurait-on besoin de quelques dodelinements de la tête supplémentaires pour la
bonne marche de l’affaire ?
Remarquez au passage l’emploi révélateur des mots :
N’hésitez pas. Il est vrai qu’à
Ressons, les arrêtés et les P.V. se reproduisent plus vite que les petits
lapins. On serait assez tenté de ne rien dire !
Continuer de prendre la parole :
pour ceux qui n’ont pas essayé de la prendre, l’expression n’a aucun sens. Pour
ceux et celles qui ont tenté de le faire et rencontré l’hostilité et le mépris
du conseil tout entier, cet appel du pied ressemble à celui de l’âne.
Confidentiellement : c’est
peut-être le plus beau pour la fin : supposons que vous soyez enthousiasmés
à l’idée de voir défigurer votre village ; que vous brûliez de vous
défaire du petit terrain que convoite le maire ; que vous vous souciiez de
votre feuille d’impôts comme de votre première chemise ... Vous suivez ?
Bon, alors, no problemo : vous pouvez indiquer votre
nom, votre adresse, votre e-mail.
Sinon, restez prudents comme on vous le rappelle sur un panneau
qui vous interdit l’usage du trottoir.
Quant à la révision du PLU que le maire a décidée afin
d’avoir les mains libres pour l’expropriation des terrains privés qu’il
convoite pour son lotissement, vous en a-t-il avisés avant de la lancer ?
A part ça, votre avis sur les affaires qui vous concernent
est ... « primordial »
consultation de concitoyens concernant les affaires communales, j'ai testé, il a fallu 1 relance et 4 messages pour obtenir "rien du tout", Mr le Premier Echevin n'ayant pas finalisé. Mais je suis sûre que mon message aura retenu toute son inattention.
RépondreSupprimerC'est en 2009 qu'il fallait, avant de lancer des études coûteuses, exposer les projets de lotissement et demander l'avis
RépondreSupprimer- des propriétaires
- des riverains
- de la population du village tout entière.
Les nouveaux élus s'en sont bien gardés !
Après vérification, le texte de la constitution de la 5ème République commence par "Le peuple français..." et non par "Nous Charles de Gaulle". L'utilisation du possessif nobiliaire est particulièrement gênante et mal appropriée dans le cadre républicain qui, que je sache, est encore en vigueur. Donc il n'existe pas de "nos" concitoyens ou de "votre" maire. Il existe juste un citoyen élu. Lequel citoyen prend la responsabilité de publier un article présentant LA commissaire-enquêteur pour la révision du PLU que l'on peut joindre en écrivant à "Monsieur le commissaire enquêteur". En plein débat sur la parité c'est assez malvenu et ça montre l'intérêt que le bonhomme porte à son boulot car j'ai attendu 2 jours histoire de voir si l'erreur allait être rectifiée c'est ICI . CQFD
RépondreSupprimerContinuez à nous faire part de vos remarques et suggestions..."
RépondreSupprimerIl manque la 2° partie de la proposition mais elle est sous-entendue :
............mais je n'en tiendrai aucun compte, je continuerai à n'en faire qu'à ma tête puisque j'ai été élu !
Exemples :
Qu'est-il advenu des demandes réitérées de l'Arlle d'abandonner ce projet démesuré d'un lotissement totalement inadapté au caractère spécifique de notre beau village ?
Qu'est-il advenu des critiques concernant, entre autres,
- le déplacement du Monument aux Morts, déplacement qui est une insulte à la mémoire de ceux qui y sont inscrits, de ceux qui l'ont fait ériger, à cet endroit précis, sur une parcelle donnée à la commune par un habitant du village.
- la transformation coûteuse de la place de la Fontaine dont on ne voit que trop la motivation.
- la pose de panneaux spéciaux "zone 30" dangereux et ridicules par leur localisation, leur taille et l'agressivité de leur "décoration"
Allons, qu'ON arrête au moins de prendre les citoyens de Ressons pour des... naïfs ( restons polie ! )
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RépondreSupprimerEt une inauguration de la place de la Fontaine avant les élections ...
RépondreSupprimer... Çà, ça va avoir de la gueule !