lundi 29 juillet 2013

Délinquante !














« Tu finiras mal, ma tiote », lui avait souvent dit son compagnon.


Déjà l’an dernier, elle avait fait le coup à l’occasion du forum des associations1.

Le premier magistrat l’avait convoquée pour un remontage de bretelles en bonne et due forme2.

Elle avait eu le culot de ne pas s’y rendre.

Et voilà qu’elle a remis ça cette année, la vilaine, à l’occasion de la brocante de la Trésorerie !

« Tu finiras mal, ma délinquante ! »


  
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et

2 – Rappel à l’ordre



6 commentaires:

  1. Vraiment ça craint d'être présidente d'une association à Ressons !!!!
    Le mobilier urbain appartient à la collectivité, il est fait pour renseigner les habitants ainsi que les personnes qui viennent dans la commune. Par conséquent il était tout à fait judicieux de donner des explications supplémentaires, aux personnes venant dans le village, pour trouver la brocante.
    Et pourquoi ne pas porter plainte pour vol des panneaux par les membres du conseil municipal?
    Heureusement que le ridicule ne tue pas !!!!!

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  2. Dans tous les villages ou a lieu une brocante , l'itinéraire est fléché le jour même pour éviter aux brocanteurs et aux visiteurs de tourner en rond et, si ce n'est pas le cas, ceux-ci ne manquent pas d'en faire le reproche aux organisateurs.

    A Ressons, où rien ne peut jamais être comme ailleurs, où la démesure est constamment de règle, un simple panneau signalétique devient "mobilier urbain", et il faut, paraît-il, une autorisation spéciale pour y poser temporairement un carton que les guetteurs de service, épousant la cause du chef, retirent aussitôt d'ailleurs.

    Et, plus d'un mois et demi après l'évènement, manifestement en manque de zizanie, ON s'avise qu'ON a toujours le pouvoir de chercher querelle et qu'ON ne s'est pas servi de ce privilège depuis quelque temps.

    Vite, une convocation pour rappel à l'ordre à une presque octogénaire qu'il serait si jouissif d'humilier officiellement, au nom de la "prévention de la délinquance" !
    A condition qu'elle obtempère, bien sûr.






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  3. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  4. La loi du 5 mars 2007 citée par l'incompétent qui nous sert de maire concerne la délinquance des mineurs, les violences conjugales, les infractions sexuelles et la consommation de drogues (voir ici ).
    Quel bricolage ou tour de passe-passe pourrait-il donc utiliser pour la faire appliquer aux "délinquants" de l'association qui ont osé accrocher un fléchage sur la micro-signalétique communale ?
    D'autant que l'article L.2212-2-1 auquel il se réfère a été abrogé en mai 2012 !

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    1. Le comble est qu'il plane toujours au dessus de la tête du redresseur de torts un délit défini ICI dans l'affaire dite " des logements communaux " et qui serait punissable de 2 ans d'emprisonnement et de 30.000 euros d'amende.
      Avec en prime CECI

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    2. Il n'est pas le seul à avoir plongé les 4 doigts et le pouce dans le pot de confiture.

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