La banderole était sur un terrain communal ou privé ? Ca change tout... sauf le côté puéril de la réaction. Je ne sais plus qui a posté que vous aviez à faire à 1 technocrate, c'est là qu'il faut porter le fer. Notre bien aimée administration nous permet d'être beaucoup plus cons que les cons quand on l'exploite bien
La phrase a faussement été attribuée à Voltaire. De fait, la citation est absolument apocryphe (elle n’apparaît nulle part dans son œuvre publiée) et trouve sa source en 1906, non dans une citation erronée, mais dans un commentaire de l’auteure britannique Evelyn Hall, dans son ouvrage The Friends of Voltaire14, où, pensant résumer la posture de Voltaire à propos de l’auteur d’un ouvrage publié en 1758 condamné par les autorités religieuses et civiles, elle écrivait « “I disapprove of what you say, but I will defend to the death your right to say it” was his attitude now »
Merci de cette précision Marceaujean, ce qui veut dire qu'il y a violation de la propriété privée. A vous de jouer. Même si la légitimité (au sens propre) de l'affichage peut prêter à discussion, son enlèvement relève soit d'une disposition municipale (qui préciserait que tout affichage personnel est interdit... Bonjour les affiches de mariages!!!), soit d'une disposition juridique après que le propriétaire en ait été informé. Donc en gros les flics viennent enlever le bazar, mais vous savez qui le fait et à cause de qui... Comme je le disais dans mon précédent post, on peut toujours être plus con...
@galga : OK dont acte, toutes mes confuses, mais du coup je vais relire les "Essais sur les moeurs des nations" dans l'édition de 1773 qui est la seule que je possède. Sans doute y trouverai-je plus de sagesse ;)
Je ne pense pas que l'association va se ridiculiser à porter plainte, elle a trop le respect du travail des gendarmes pour ne pas la déranger pour un fait aussi anodin. D'aucuns n'hésitent pas à faire appel à la maréchaussée pour des inscriptions au sol (qui vont finir par disparaître d'elles-mêmes) ou pour recevoir des habitants désirant s'informer. Je pense que les gendarmes ont de plus lourdes tâches à accomplir que régler les comptes entre élu et habitants.
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RépondreSupprimerNous sommes victime d'une bande de lâches qui agit la nuit.
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RépondreSupprimerLa banderole était sur un terrain communal ou privé ? Ca change tout... sauf le côté puéril de la réaction. Je ne sais plus qui a posté que vous aviez à faire à 1 technocrate, c'est là qu'il faut porter le fer. Notre bien aimée administration nous permet d'être beaucoup plus cons que les cons quand on l'exploite bien
RépondreSupprimerI disapprove of what you say, but I will defend to the death your right to say it ».
RépondreSupprimer(je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'au bout pour que vous puissiez le dire)
Ce n'est pas le credo des amis de M. R.
Pourquoi citer Voltaire en anglais ? Mais, avec toutes les réserves que l'on puisse faire entre le penseur et l'être, c'est excellent
RépondreSupprimerRéponse à Titibreizh : cette banderole a été posée dans un champ avec l'autorisation de son propriétaire.
RépondreSupprimerLa phrase a faussement été attribuée à Voltaire. De fait, la citation est absolument apocryphe (elle n’apparaît nulle part dans son œuvre publiée) et trouve sa source en 1906, non dans une citation erronée, mais dans un commentaire de l’auteure britannique Evelyn Hall, dans son ouvrage The Friends of Voltaire14, où, pensant résumer la posture de Voltaire à propos de l’auteur d’un ouvrage publié en 1758 condamné par les autorités religieuses et civiles, elle écrivait « “I disapprove of what you say, but I will defend to the death your right to say it” was his attitude now »
RépondreSupprimerMerci de cette précision Marceaujean, ce qui veut dire qu'il y a violation de la propriété privée. A vous de jouer. Même si la légitimité (au sens propre) de l'affichage peut prêter à discussion, son enlèvement relève soit d'une disposition municipale (qui préciserait que tout affichage personnel est interdit... Bonjour les affiches de mariages!!!), soit d'une disposition juridique après que le propriétaire en ait été informé. Donc en gros les flics viennent enlever le bazar, mais vous savez qui le fait et à cause de qui... Comme je le disais dans mon précédent post, on peut toujours être plus con...
RépondreSupprimer@galga : OK dont acte, toutes mes confuses, mais du coup je vais relire les "Essais sur les moeurs des nations" dans l'édition de 1773 qui est la seule que je possède. Sans doute y trouverai-je plus de sagesse ;)
RépondreSupprimerJe ne pense pas que l'association va se ridiculiser à porter plainte, elle a trop le respect du travail des gendarmes pour ne pas la déranger pour un fait aussi anodin.
RépondreSupprimerD'aucuns n'hésitent pas à faire appel à la maréchaussée pour des inscriptions au sol (qui vont finir par disparaître d'elles-mêmes) ou pour recevoir des habitants désirant s'informer.
Je pense que les gendarmes ont de plus lourdes tâches à accomplir que régler les comptes entre élu et habitants.