Quelle importance accorder aux dires,
aux écrits du maire de notre commune ; à ses citations, ses erreurs de
raisonnement, ses attaques personnelles plus indécentes les unes que les autres
(voir « La délinquance n’a pas
d’âge ! »1), …
Attardons nous plutôt sur ce qui n’est
ni dit, ni écrit publiquement, sur ce qu’on nous cache.
En page 4 du dernier journal municipal –
Rubrique Au conseil municipal (voir le premier extrait ci-dessous), deux dates ont
été « omises » :
- Celle du 15 juillet 2013
La Chambre Régionale des Comptes, ayant
mis en demeure le maire de rectifier son budget initial voté en déséquilibre le
8 avril 2, Maire, adjoints, conseillers,
se sont bien gardés de laisser filtrer une preuve aussi tangible de leur
incompétence.
Et pourtant, des spécialistes des
finances siégeraient au conseil !
- Celle du 2 décembre 2013
Après avoir traité les affaires affichées
à l’ordre du jour, le maire a fait déclarer le huis clos et prié le public de
quitter la salle à 21 heures 05.
De ce huis clos, nous n’avons que le
compte rendu qui a été affiché à la porte de la mairie (voir le deuxième extrait
ci-dessous). Il nous intéresse dans la mesure où l’une des questions porte sur
la révision du Plan Local d’Urbanisme que nous contestons avec force.
Affaire à suivre …
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1 – Page 3 du bulletin municipal de
décembre 2013 :
« Certains croient avoir le droit de se comporter comme des délinquants
sous prétexte qu’ils sont adultes. »
L’âge adulte n’étant pas un argument
considéré comme une circonstance atténuante aux yeux des juges, il est stupide
de le vouloir présenter comme un « prétexte ».
En outre, la délinquance étant le non respect de la Loi, on pourra retourner
aisément l’affirmation vers son auteur.
2 – Suite à la saisine du Préfet de
l’Aisne en date du 7 mai 2013
Excellent article... Une intervention sur cette soit-disant "délinquance me démangeait les doigts... Maintenant pour les plus jeunes de nos lecteurs (et les employés de mairie curieux), explicitons la vignette judicieusement choisie. Il s'agit de "Madame Anastasie", dessinée en 1874 par André Gill (pseudonyme de Louis-Alexandre Gosset de Guines, 1840-1885), allégorie de la censure présentée comme une vieille femme en robe jaune portant une immense paire de ciseaux et accompagnée d’un hibou, symbole de l’obscurité, et d’Atropos, la Parque qui coupe le fil de la destinée, en particulier celle des journaux (sources BNF). L'allusion est juste parfaite dans le cas présent et l'image vaut autant que le texte.
RépondreSupprimerEt voilà Rébérot, ressortant de son fonds de commerce de politicien zemmourophile, l’épouvantail de la délinquance aux cheveux blancs : le cartel des grands-mères, appuyé par le gang des papis flingueurs avait, en l’été 2011, bombé quelques inscriptions hostiles à Ressons-Béton et ses complices. C’est digne d’une séquence de Groland. Voir ICI
RépondreSupprimerIl apparaît donc dans le compte rendu qu'un unique exploitant agricole est concerné par le projet de l'écoquartier ET celui de la Vache Noire.
RépondreSupprimerJe veux bien que M. Rébérot s'offusque de l'intervention de la soeur de cet exploitant et y voit un conflit d'intérêt.
Cependant dans un village, il est bien rare que les responsables ne soient pas en famille avec ceux qu'ils administrent.
Pour preuve, pas besoin de chercher loin, la bénéficiaire d'un logement communal se trouve être la mère du maire, le maire lui-même bénéficie directement de la rénovation de la place qui se trouve juste sous ses fenêtres.
N'ayant pas l'esprit mal tourné, je ne voie là que le fait du hasard.
Vous le savez peut-être, et si vous le savez pas je vais vous le dire, ça vous évitera de l'ignorer(*), mais le logement dont vous parlez est loué à moitié prix. Eh oui !
Supprimer(*) Voyages en absurdie - Stéphane De Groodt
Comme notre maire ne peut prendre un arrêté pour exclure la vice-présidente de la CCPVA, il a fait appel au président de cette communauté !!! risible et lamentable pathétique !!!!
RépondreSupprimerUn huis clos, ça ne s'est jamais vu à Ressons...
RépondreSupprimerMais à Ressons, rien n'est comme ailleurs depuis 2008.
Des problèmes à la pelle : projets extravagants, méthodes autoritaires, dramatisation d'évènements anodins, silence sur d'autres plus importants, tracasseries sans fin envers les administrés qui osent contester les méthodes et les actions du maire et fustiger la passivité des conseillers,
Oui, pourquoi ce huis clos ?
Quels propos et quels arguments le public ne devait-il pas entendre sur les 2 sujets ?
Notons que le compte-rendu ne nomme pas les intervenants, sauf le maire et M. Berson ( le conseil municipal qui " dénonce, conteste, réclame la censure " est ici une vague entité, comme d'habitude, rien de précis, rien de net... ) et ne rapporte pas l'intégralité des propos échangés.
Donc ne nous apprend rien sur le déroulement de la séance. Dommage.
Vous faites un grand plaisir au Génie de la Vallée en écrivant que rien n'est comme ailleurs à Ressons-le-Long.
SupprimerRébérot a une vision tellement grandiose de son importance : il est un surhomme, un individu à part, un bienfaiteur, un sauveur ; il est le soleil de la scène sociale.
On lui doit tant, car il est si exceptionnel !
Encore un grand courageux qui colporte des rumeurs.
SupprimerCroyez-vous qu' einstein02 qui traînait sur le forum de l'Union était plus courageux ?
Supprimerla première cachotterie a été de présenter aux élections une équipe n'ayant pas annoncé dans son programme les projets de main-mise sur les terres de la Trésorerie pour des constructions faites sans le consentement des propriétaires.
RépondreSupprimerTout le reste est à l'avenant, gadgets et paillettes, multiplication des arrêtés, plaintes, actions en justice, tracasseries, taxes..
Au fait le lotissement il ne devrait pas déjà être construit et habité, qu'en dit la Séda ?
Une autre cachotterie : le résultat du sondage "écoquartier" réalisé en août/septembre 2013.
RépondreSupprimerOu alors on préférera dépouiller les expropriés avant le sondage !
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