mardi 31 décembre 2013

Un grand courageux














Il est une catégorie d’individus qui tiennent souvent des propos ambigus qui visent à vous faire comprendre leur pensée sans avoir à la formuler explicitement, pour éviter de se mouiller …

Le maire Rébérot ferait-il partie de cette catégorie ?

Dans son dernier bulletin municipal de décembre 2013, Monsieur Rébérot évoque d’entrée de jeu dans son édito «  les blogs, les réseaux sociaux et les tracts en tout genre [qui] permettent à de grands courageux, mais restant anonymes, […] ».
Il ne fait aucun doute que la plupart des grands courageux visés sont de notre association. Que le maire, qui nous lit quotidiennement, apporte un démenti sur ce point et nous le publierons immédiatement.

Le blog de l’ARLLE et sa page facebook – qui n’est autre qu’une courroie de transmission vers nos adhérents et sympathisants du réseau – sont gérés par des personnes parfaitement identifiées et connues des autorités publiques. Le nom du modérateur est indiqué en bas de cette page.
Tous les tracts que nous avons distribués ont, eux aussi, parfaitement été identifiés.

En ce qui concerne les rumeurs que nous n’hésiterions pas à colporter, le maire en personne, interrogé à ce sujet est resté muet !!!

Que dire d’un homme qui n’ose pas nommer les personnes qu’il incrimine et expliciter les faits qu’il récrimine ?
Qu’il est courageux ?



Voir ci-dessous, un extrait de la page 2 du dernier journal municipal de RESSONS-LE-LONG.


11 commentaires:

  1. Le petit père courage de Ressons-le-Long en aurait-il assez dans le boxer pour inviter l’ARLLE, vecteur d’animation (cf page 8 du journal municipal déjà abondamment cité) à la prochaine cérémonie des vœux aux forces vives communales?
    Il mettrait ainsi ses actes en cohérence avec sa dernière citation de Voltaire.
    Parlant de Voltaire, le lecteur curieux n’hésitera pas à cliquer ICI pour prendre conscience que citer, sans vraiment le connaître, le philosophe des Lumières présente un risque de polémique.

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  2. Il existe des lois pour protéger les individus et M. Rébérot ne s'est pas privé d'y recourir lorsqu'il s'est senti harcelé et persécuté. Cependant nul n'a été condamné pour avoir laissé un commentaire ou écrit un article sur le blog. En effet, la liberté d'expression est un droit que quelqu'un citant une phrase mal attribuée à Voltaire devrait comprendre. S'offusque-t-on de lire dans le bulletin municipal que nous serions des personnes dénigrant systématiquement les élus, voisins, colportant des rumeurs, persécutant ou harcelant ? Si nous suivions M. Rébérot dans sa logique, nous irions de se pas nous plaindre auprès de la justice pour accusations sans preuves dans un bulletin municipal.

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    1. Attention, il ne faut pas entrer dans son jeu. Sa stratégie actuelle consiste à culpabiliser les opposants en se faisant passer pour une victime.

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  3. L’homme est un fieffé poltron.
    On m’a rapporté que pour ne pas oser user du pouvoir de police que lui confère l’article L.2212-2 du Code général des collectivités territoriales, il avait fait appel aux gendarmes pour un simple feu de jardin en face de la mairie.
    Les gendarmes ont sûrement d’autres chats à fouetter !

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    1. J’en rajoute : il n’a pas osé s’opposer à une déclaration préalable pour vente au déballage déposée hors délai (son arrêté n°2013-73) – ou alors c’était de la complaisance !
      Par là même, il a bafoué le Code du commerce (article R.310-8).
      La loi et Rébérot … ?

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    2. Le maire n' a AUCUNE COMPÉTENCE, donc AUCUN POUVOIR sur ce dernier sujet.
      A Ressons-le-Long, en propriété privée, seuls les gendarmes peuvent contrôler la validité des déclarations préalables de ventes au déballage.
      Indépendamment de son contenu, l'arrêté cité n'a aucune raison d'exister. Il est donc ILLÉGAL !

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  4. C'est courageux, à partir d'un incident créé de toutes pièces, de faire ricaner l'ensemble du conseil municipal aux dépens - mais sans les nommer - de personnes présentes dans la salle à qui la loi interdit de répondre ( voir blog du 3 nov. ).
    C'est courageux, une administrée posant une question au maire une fois la réunion de conseil terminée, de ne même pas daigner lever les yeux vers elle, toute l'assemblée autour de la table imitant son maître et l'ignorant grossièrement.
    Et, pour remonter plus loin dans le temps...
    C'est courageux de ressortir une loi ignorée de tous afin de dresser un PV à une électrice - maire honoraire de surcroît - pour avoir chuchoté dans le bureau de vote !
    C'est courageux de faire main basse sur des terrains privés en signant une concession à un aménageur sans même en avertir les propriétaires.

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    1. Rectification : je voulais évoquer mon commentaire du 3 décembre - et non du 3 novembre - dans l'article intitulé " Bouffée de chaleur pour Toni"

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  5. Effarant !
    Aucun conseiller municipal n'aurait eu le moindre soupçon de lucidité depuis 6 ans ?

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  6. C'est courageux de se cacher derrière une glace sans tain.

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  7. "Avoir des responsabilités, c’est ne pas se placer sur ce terrain."
    C'est la phrase qui suit l'extrait publié ci-dessus, en gras dans le texte. Mais de quel terrain s'agit-il ?
    Ce...torchon ? tract ? est terriblement pathétique…et inquiétant. Surtout en période pré-électorale.
    Ce terrain est celui du dénigrement, du déni et de la manipulation. Selon lui, les réseaux ne sont pas sociaux mais "dits sociaux". Ce qui implique que le maire mette en doute leur qualité. En creux, sauf si c'est lui qui les utilise, puisqu'il parle de "[détournement de] ce que le progrès nous apporte de positif". C'est bien, sauf quand j'en fais les frais... C'est un peu comme ça que sont nées les dictatures.
    Il "[s'inscrit] contre ces pratiques qui cherchent à discréditer et à diviser à tout prix, au mépris de tout fondement"... Waouh! Oser dire ça les yeux dans les yeux, c'est énorme, ça relève du déni, vu le nombre de tôles qu'il s'est prises cette année.., ça c'est du factuel, pas de la parlotte. Déni des arguments opposés par des citoyens face à une action. Je ne reviens pas sur la morale, ça a été évoqué, et on sait bien que sans culture, pas de morale et là il y a une terrible carence des 2 sur le sujet, on ne reparle pas des photos truquées et de tout le reste.
    L'anonymat. Il y a déjà de pertinents commentaires et pour ce qui me concerne en 2 clics on voit qui je suis, mon âge, où j'habite et travaille, je suis assez serein là dessus et sa vision de l'internet a 20 ans d'âge... L'honneur de l'ARLLE est de s'exprimer à visage découvert, ce qui est moralement et civiquement bien, voire nécessaire pour être entendue. Le contraire eut été une imposture d'ados et je doute que j'y participasse. La démocratie se fait dans la clarté et l'ouverture, pas dans le précuit ; ainsi que les débats. Manipulation et tentative d'exploitation de l'ignorance de certains.
    Ce qui m'amuse (ou me désole) c'est le vocabulaire utilisé....Alors là je dois avouer que c'est pas mal. Et mis à part que ça ronfle, je suis navré mais c'est idiot... Je cite "[n'hésitant pas] à aller jusqu'à la persécution, voire au harcèlement" ... On va reprendre les choses dans l'ordre : en général dans une narration, pour faire monter la pression, on commence doucement pour aller crescendo. Genre, je t'empêche de dormir, je menace ta famille et ensuite je te coupe la tête. Et l'adverbe "voire" est sensé faire monter la pression, là c'est l'inverse.
    Là on commence par la persécution (c'est du lourd là, de la torture, des sévices...) et on finit par le harcèlement. Mais ça c'est juste psychologique, ça ne fait pas physiquement mal (et je ne dénigre pas le harcèlement). Mais ça revient à dire "je te tue et après je vais t'emmerder". CQFD, c'est idiot (et si on va plus loin, lâche car on s'en prend à un mort). L'ordre des mots dans un texte n'est jamais innocent.
    Le populisme. Il semblerait qu'il ne sache pas trop ce que ça veut dire. C'est effectivement assez complexe comme notion et pas nécessairement négatif (la démocratie participative de Mme Royal est une forme de populisme, les discours de Marine Le Pen une autre forme)... On en revient sur les subtilités de notre langue et la nécessité de culture, ce qui manque tragiquement dans le cas de figure. On sent bien que là l'idée est de faire peur, par des mots, de retourner les arguments "sans fondements" comme il est dit sans en apporter soi même. L'ARLLE serait-elle un abcès qu'il faut crever parce que la vérité dérange ? L'honnêteté dérange aussi...tout comme l'honnêteté intellectuelle.
    Le terrain de Rébérot c'est la manipulation, le déni, etc... Je comprends qu'il ne veuille pas en changer, il risquerait d'avoir des déceptions...

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