lundi 3 octobre 2011

Rétention d'informations




Concession SEDA1, s’il vous plaît ? (Episode 2)


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Pour la bonne compréhension de ce qui va suivre, nous invitons nos lecteurs à relire l’article du 31 août dernier.


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Donc, ce 30 août 2011, nous demandons en mairie à consulter la concession signée avec la SEDA.

Ce n’est que le 24 septembre que le secrétariat de mairie nous invite à prendre rendez-vous « afin que l’on [n]ous prépare le document »

Le 26 septembre, après avoir pris rendez-vous, nous pouvons enfin consulter cette fameuse concession.
Néanmoins, la secrétaire n’est pas autorisée à nous en faire de photocopie ( ? ! ).
En insistant un peu, nous obtenons l’autorisation de photographier – pour usage « privé » - ledit document, dans son intégralité.

Satisfaction !…

Nous le lisons  … constatation !

Nous le relisons … disparition ?



Stupéfaction ! …





… mais mon cher, vous n’avez pas la berlue …, il manque bien le planning prévisionnel !
Aurait-il subtilement été subtilisé ?

28 septembre
Nous : « Monsieur le Maire, la concession qui nous a été présentée n’est pas complète ! »

1er octobre
Maire : « Nous prenons connaissance de votre requête. Celle-ci fera l’objet d’une étude approfondie de nos services.
Nous ne manquerons pas de vous tenir informée des suites données. »

Confirmation !

eghf



(1) Dans un avenir proche, nous aurons l’occasion d’exposer l’importance capitale de cette concession.

7 commentaires:

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  2. Etonnant, non ?
    Non, pas étonnant du tout.
    A Ressons, c'est comme ça !

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  3. Pourquoi faut-il plusieurs semaines pour obtenir l'autorisation de consulter un document administratif ?
    Pourquoi faut-il en plus annoncer sa visite ?
    C'est clair maintenant.
    Pour qu'on ait le temps de retirer les documents gênants.
    Lajane.

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  4. Le Conseiller Général " effacé " d'une photo dans le bulletin municipal.
    Une pièce très importante escamotée dans un document administratif.
    Curieuses pratiques quand on se pique de transparence et de rigueur !
    Lajane.

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  5. Et pendant ce temps, les projets prennent corps comme si de rien n'était car la Commune, ayant délégué ses pouvoirs, n'a plus la main.
    Témoin une réunion à la mairie, pas plus tard qu'hier, dont l'Association n'avait, bien sûr, pas entendu parler.

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  6. Si l'avenir de la commune et le bien y vivre avec un accroissement de la population raisonné, dans le respect de la propriété d'autrui et la sauvegarde de la beauté de ce village n'étaient pas en jeu, nous pourrions rire de ces "enfantillages" et la volonté de prouver qu'il est le chef. Ce n'est pas cela être maire.!!!
    Diviser pour mieux régner : c'est la façon de faire à Ressons. Pauvre démocratie.

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  7. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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