dimanche 6 novembre 2011

CADA bis



Deuxième dragée (voir notre article du 29 octobre dernier « L’effet CADA »).

Une fois n’a pas suffi !

Le maire Rébérot n’aurait toujours pas compris.
Ou plutôt si, il a parfaitement compris notre détermination à lutter contre son projet de transformation de notre joli village en hideuse petite ville.
Au point de retenir le plus longtemps possible les informations administratives officielles dont nous avons besoin, et ce, aux limites de la légalité.

Nous étions venus à la mairie, le 30 août dernier, pour consulter le traité de concession signé avec la SEDA.
Aujourd’hui, n’ayant toujours pas pu consulter un planning prévisionnel lisible de cette concession, nous sommes à nouveau contraints de saisir la commission d’accès aux documents administratifs.

La CADA saura-t-elle décrypter ce document illisible ?



12 commentaires:

  1. Cette réticence à nous communiquer les documents montre assez que nous sommes des gêneurs et que le citoyen ne doit pas être informé de décisions qui le concernent.
    En clair, il ne doit pas avoir à quelle sauce il sera mangé.
    Ce planning - rendu volontairement illisible - indique l'ordre et la date des opérations prévues.
    Il contredit la rumeur apaisante selon laquelle "ça ne se fera pas ".
    Lajane

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  2. Avec une bonne loupe et un gros effort de concentration on découvre le mot qui fâche
    EXPROPRIATION
    Etonnant, non ?
    Lajane.

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  3. Si la transparence avait été à l'ordre du jour depuis le début,( y compris la révision du PLU, car à ce moment là, apparemment, tout n'a pas été dit aux élus de l'époque) nous n'en serions pas là avec cette "petite guè-guerre" et l'obligation pour les démocrates de créer l'ARLLE.!!!!
    C'est désolant de voir ainsi la démocratie bafouée et un climat délétère s'installer dans le village.

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  4. pourquoi alors que le planning est établi dire que rien n'est figé ?

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  5. Le PLU de 2005 fait état de la possibilité de construire à la Trésorerie, il n'est pas fait mention d'un lotissement.
    Les élus de l'époque disent bien que, dans leur esprit, il s'agissait seulement de donner la possibilité de vendre et d'acheter un terrain et d'y bâtir librement et sans contrainte dans les zones retenues. Sans plus.
    Le PLU de 2005 a donc été ratifié. Ensuite, strict minimum d'information auprès des habitants. Pas d'objections.
    Les têtes pensantes avaient manifestement d'autres projets non révélés.
    C'est ainsi qu'on a préparé insidieusement la situation déplorable que nous connaissons aujourd'hui.
    Beau travail !

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  6. c'est triste de voir que l'obstination de l'équipe municipale à imposer son projet oblige les habitants de la trésorerie à se battre pour sauvegarder leur cadre de vie.
    On dit que dans le choix d'une maison, il faut regarder en premier lieu le quartier.
    Là où règne l'harmonie, la tranquillité, la beauté d'un paysage devraient se lever 80 maisons sur un bout de terrain minuscule. Cela fait beaucoup à accepter, un changement trop grand.
    Je trouve aussi très péjorative cette façon de nommer un terrain encore vierge d'habitations : "dent creuse". C'est un terme laid et inapproprié. Il est nécessaire de laisser des zones naturelles dans un village, cela constitue un lieu de promenade. Vous iriez vous promener dans une banlieue parisienne,vous ?
    3° point, je constate que ce quartier constituerait un "Ressons d'en bas" tandis que le bourg constituerait le "Ressons du haut" bien préservé, agréable à visiter.

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  7. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  8. C'est balèze de scanner à 96 PPP (infos données par XnView)quand par défaut ça doit se situer entre 150 et 300 PPP

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  9. C'est vraiment du grand art d' arriver à scanner en ultra basse résolution.
    Mais en zoomant on arrive quand même à deviner de quoi il retourne.
    Si on inventait le diplôme de la commune communiquant de la façon la plus originale, Ressons aurait 5 étoiles.

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  10. @j.n. on arrive même à lire, sauf que. Il y a manifestement un code couleur explicité en bas à gauche. Et là que couic pour le rétablir. Par là même le document devient illisible, avec la meilleure volonté (et les meilleurs logiciels) du monde

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  11. Il faut de la persévérance dans la dissimulation !
    Lajane

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  12. Sur le site de la mairie, des infos à la pelle, toutes plus insignifiantes les unes que les autres, dernier reportage photo en ligne : la visite de la station d'épuration par des lycéens goguenards.
    Par contre, quand il s'agit de communiquer sur le sujet qui fâche, plus question de nous mettre les documents en ligne, il faut se contenter du torchon reproduit ci-dessus.
    Pitoyable..

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