mercredi 23 novembre 2011

L’affiche pas mal




La loi à nouveau bafouée à Ressons-le-Long





Après le Code de l’environnement, – voir notre article « Complaisance envers des délinquants de l’environnement » du 20 novembre dernier– c’est avec le Code général des collectivités territoriales que notre maire prend quelques libertés.

En effet, les vitrines officielles attendent depuis maintenant 9 jours l’affichage du compte rendu de la réunion du conseil municipal du 14 novembre dernier.

Or l’article L2121-25 du Code précité dispose que :
« Le compte rendu de la séance est affiché dans la huitaine. »

L’article ne précisant pas le lieu, notre maire l’a peut-être affiché sur la porte de son bureau !

A Ressons-le-Long l’information n’est pas portable, elle est quérable :

·         vous remplissez un formulaire, vous attendez un mois, puis vous saisissez la CADA.

La procédure démocratique, quoi ?

Cette photographie de la vitrine de la mairie a été prise mercredi 23 novembre juste avant la nuit. Nicolas Rébérot en a été témoin.


11 commentaires:

  1. Réunion de conseil pas annoncée.
    Compte-rendu pas publié.
    Documents administratifs non fournis.
    Mépris total des lois et des citoyens.
    La commune de Ressons est, en effet, en passe de devenir une commune-phare en matière de déni de la démocratie.
    Sim Simon

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  2. plus le tps passe est plus votre blog s'eloigne de son sujet : l'aménagement de la trésorerie!!

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  3. Relisez tous les articles depuis l'origine et vous comprendrez comment le comportement du maire est en liaison directe avec le sujet qui vous intéresse.

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  4. Le sujet que nous défendons dans ce blog c'est la sauvegarde de notre beau village.
    Et qui le menace, par son initiative personnelle désastreuse d'urbanisation de la Trésorerie et sa gestion autoritaire et antidémocratique de la commune ?
    Une seule personne, le maire, qui prétend détenir la vérité face à des citoyens obtus et égoïstes et l'imposer coûte que coûte, au mépris du droit de propriété, en plus.
    Nous sommes donc bien en plein dans le sujet.
    Ce commentaire ( entaché d'une grossière faute de français ) est tout à fait inapproprié.
    Lajane

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  5. C'est dans les détails que les personnes se révèlent.
    Nous avons un maire prompt à sanctionner et rappeler à l'ordre en cas de manquement aux règles mais qui, pour lui-même, n'a pas la rigueur attendue.
    Qui ralentit la connaissance des documents, se sert du bulletin municipal pour régler des comptes, se posant en victime.
    Or, qui a déclenché les hostilités ?
    N'était-il pas possible de prendre contact avec les habitants de la trésorerie avant de mettre une option sur LEURS terrains ?
    Qui décide de tout, signe des concessions avec la Séda, prétend que rien n'est décidé pour inviter quelques semaines plus tard à une réunion "pour continuer à faire avancer le projet".

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  6. Le plus fort c'est quand même d'avoir concédé à la Seda des terrains dont aucun n'appartient à la commune et aucun ne sera à vendre !
    ( On ne se permettrait pas, nous, de vendre par anticipation le jardin de notre voisin !!!)
    Bravo l'artiste !
    Que la Seda ait accepté cet arrangement est très surprenant.
    Le maire aurait-il promis de venir facilement à bout de personnes, pour la plupart âgées, qu'il croyait influençables et craintives ?
    Sim Simon

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  7. Quand je lis sur le site de la mairie que Ressons est un village où "il fait bon vivre", je proteste énergiquement!!!Il fait bon y vivre si on fait parti de la "cour" du maire . Mais si vous osez dire que vous n'êtes pas d'accord avec les décisions prises alors vous êtes considérés comme indésirable, fauteur de troubles, égoïste....et j'en passe. J'affirme que, à Ressons la démocratie est bafouée.

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  8. On y lit également "qu'il n'y a pas de honte à être copié !"
    Oh, boy, ce sont les copieurs qui auraient honte ...
    Toni

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  9. qui a copié Ressons ? Je n'ai pas entendu parler d'un autre écoquartier dans les environs.
    Ni d'expropriations.

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  10. Pour revenir sur le sujet de la Trésorerie, n'est-il pas malheureux de voir que cette zone très humide qui en ce moment absorbe l'eau, pâtures, chemins, friches, bois) risque d'être bétonnée.
    Où ira l'eau ?
    Grossir les rivières ?
    Ensuite on pleure sur les inondations mais celles-ci sont aggravées par le bétonnage.
    Quand on a la chance d'avoir une éponge naturelle, le bon sens commande de le conserver.
    Mais dans le langage technocrate, fiches, pâture, jardin = profit et là où le véritable écologiste voit l'intérêt de zones non urbanisées, le précurseur voit un terrain vague qui serait rentable.
    Même les pouvoirs publics de l'état commencent à dire que plutôt qu'étaler les villes, il faut utiliser les espaces libres à l'intérieur de la ville.
    Si les gens aujourd'hui ne souhaitent plus un grand terrain, pourquoi ne pas construire entre les maisons existantes ?

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