mardi 13 décembre 2011

Nouvelle CADA strophe





DEMANDES ABUSIVES



Il nous faut remonter au 31 août dernier, le jour où des membres du conseil d’administration de l’ARLLE ont eu la mauvaise idée de vouloir consulter à l’Hôtel de Ville de Ressons-le-Long, un document d’apparence anodine : « le traité de concession signé avec la SEDA », pour trouver l’origine de cette affaire.

Après de multiples péripéties :
·         quatre gendarmes venus nous déloger,
·         planning prévisionnel envolé,
·         puis miraculeusement retrouvé,
·         mais devenu illisible après passage au scanner ...,
nous avons été contraints de saisir la CADA1.

Et la CADA nous a donné une nouvelle fois raison – (voir le fac-similé ci-dessous.)

Le bras de fer avec Rébérot n’est sans doute pas terminé.
Ses intentions sont claires : ne plus nous donner accès aux documents administratifs au motif que nos demandes sont ABUSIVES, rien de moins !
C’est la raison qu’il a trouvée bonne à invoquer auprès de la commission d’accès aux documents administratifs.

Nous n’en sommes plus à de la simple rétention d’informations, mais à de l’ostracisme délibéré à notre encontre.

Nos adhérents et sympathisants apprécieront !

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1 – Article « Cada bis » du 6 novembre 2011
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4 commentaires:

  1. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  2. Il est temps que M. Rébérot comprenne qu'avoir des responsabilités ne consiste pas à décider ce qui est bon pour les gens ou pas. Ce n'est pas à lui de décider ce qui est communicable ou pas, dans la mesure où la demande est légitime, il doit communiquer les documents publics.

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  3. Oui, mais il ne fallait pas que les Ressonnais sachent que les échéances étaient si rapprochées, que le projet était tellement engagé que les expropriations étaient déjà programmées et pour bientôt.
    Puisqu'on nous répète depuis le début qu'
    "il n'y a pas de projet"
    Lajane

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  4. Il est clair que M. Rébérot use et abuse de son mandat de maire et foule aux pieds la démocratie. Sa façon d'être est scandaleuse et indigne d'un "bon maire". Espérons que de plus en plus de Ressonnais en prennent conscience.

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