jeudi 25 août 2011

Les fouilles archéologiques ont débuté.


Comme nous l'avions annoncé le 12 août dernier (message : Elles arrivent !), les fouilles archéologiques, ultime étape avant modification du plan local d'urbanisme, enquête d'utilité publique et commencement des travaux de viabilisation de la Trésorerie, viennent de débuter.

Des membres de l'Association Ressons-le-Long Environnement assistent au débarquement de la pelle mécanique qui va fouiller les entrailles de la terre. (Attitude apparemment passive qui cache une très forte détermination à exiger des explications de la part du maire de Ressons-le-Long.)





5 commentaires:

  1. Vous croyez être propriétaire du terrain que vous avez acheté ou hérité de vos parents, que vous avez entretenu et amélioré pendant des dizaines d'années ?
    Que nenni !
    Un jour, M. BIENPUBLIC décide que ce champ, ce bois, ce jardin arboré, vous devez en faire cadeau à la collectivité qui en fera bon usage en logeant des populations dont vous ignorez tout. Vous ne voulez pas ? Vous résistez ? Vous êtes un égoïste ! Allons, exécutez-vous, manant, et qu'on n'en parle plus !
    M. BIENPUBLIC sait mieux que vous quel est l'ordre moral qui doit régir la société, il croit pouvoir, d'un trait de plume, rayer des années de votre vie pour imposer sa vision du futur de votre beau village.
    Mais il arrive que les gueux et les sots résistent.

    RépondreSupprimer
  2. " Il n'y a pas de projet !"
    On nous mène en bateau depuis 2 ans.
    Voici la preuve en images que le lotissement est bien prévu et pas loin de se réaliser.
    Qu'en dit le maire ?
    RIEN.
    Il n'a pas de comptes à rendre.

    RépondreSupprimer
  3. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

    RépondreSupprimer
  4. Pour savoir ce qui se passe à Ressons, rien de tel que le blog de l'ARLLE.
    Sur le site de la Mairie, rien sur les travaux en cours...
    Tout le monde est en vacance ?

    RépondreSupprimer
  5. Les fouilles préventives sont ouvertes à la concurrence :
    Il faut savoir que, depuis une loi de 2003,les fouilles archéologiques préventives ne sont plus le monopole de l'INRAP : elles sont ouvertes aux services régionaux d'archéologie ou à des opérateurs privés, agréés par l'Etat. Ces fouilles sont désormais à la charge des aménageurs, qui passent des conventions avec des opérateurs.
    "Le risque d'éclatement de l'acte archéologique" entre plusieurs acteurs est une aberration, d'un point de vue scientifique" (Jean-Marie Pailler, professeur d'université et directeur de l'unité toulousaine d'archéologie et d'histoire, au CNRS.)

    RépondreSupprimer